13 à table ! vous propose un voyage autour de la Terre, sur le thème : La planète et moi...
Françoise BOURDIN ;
Marina CARRÈRE D'ENCAUSSE ;
François D'EPENOUX ;
Karine GIEBEL ;
Raphaëlle GIORDANO ;
Alexandra LAPIERRE ;
Cyril LIGNAC ;
Agnès MARTIN-LUGAND ;
Romain PUÉRTOLAS ;
Mohamed MBOUGAR SARR ;
Préface exceptionnelle de Thomas PESQUET ;
Un livre acheté = 4 repas distribués ;
Inédit ;
Illustration de Riad SATTOUF ;
Chaque année, 3000 personnes périssent en mer Méditerranée en tentant la traversée dans des embarcations de fortune. Depuis 2015, l'association sos mediterranee organise des opérations de secours grâce au navire Ocean Viking. Afin de soutenir ces sauvetages, dix-sept auteurs contemporains nous livrent un recueil de récits puissants, nous invitant à changer notre regard sur le monde.Tous les bénéfices de ce livre caritatif au contenu inédit seront intégralement reversés à SOS Méditerranée.ABD AL MALIK - JAKUTA ALIKAVAZOVIC - MURIEL BARBERY - AMINA DAMERDJI - KAMEL DAOUD - MARIE DARRIEUSSECQ - ERRI DE LUCA - JEAN-BAPTISTE DEL AMO - ANANDA DEVI - ÉRIC FOTTORINO - LAURENT GAUDÉ - MAYLIS DE KERANGAL - CAROLE MARTINEZ - FRANÇOIS MOREL - MARIE NDIAYE - WILFRIED N'SONDÉ - LEÏLA SLIMANI.Préface de JEAN-MARIE LACLAVETINE.
Ce nouveau volume des "Classiques en images" propose de renouer avec la tradition du poème court japonais à travers une sélection de 60 haïkus exclusivement consacrés au voyage.Ce recueil célèbre avec justesse et simplicité le voyage comme une traversée, un égarement, un refuge, voire une contemplation, un pèlerinage ou la redécouverte de la nature :"Le vent me transperce/résigné à y laisser mes os/je pars en voyage"
Depuis maintenant une bonne trentaine d'années, chercheurs, collectionneurs, lecteurs et spécialistes ont permis de révéler la richesse, la profondeur et la complexité de l'oeuvre de Colette ainsi que sa personnalité, inscrits dans la modernité. C'est cette modernité qu'explore le Cahier de L'Herne. Non seulement en revisitant quelques-uns des grands thèmes de l'oeuvre, mais aussi en s'interrogeant sur la radicalité dont Colette fait preuve dans ses choix. À propos des bêtes, de la nature, ou encore de sa position ambivalente à l'égard du féminisme, dont certains travaux et textes prouvent que Colette professe un féminisme non pas théorique et militant, mais un féminisme du quotidien, on serait tenté de dire : un féminisme constitutif. Le développement des « gender studies » (études de genre), venues des États-Unis, a contribué à faire relire Colette dans cette optique. Car il s'agit, là aussi, d'une interrogation essentielle qui irrigue toute son oeuvre et bien souvent sa vie, lui permettant de questionner les représentations classiques du féminin/masculin en les détournant, voire en les inversant.
Le Rouge et le Noir, Madame Bovary, Les Misérables... ces titres semblent gravés dans le marbre, et pourtant, comme toute oeuvre culturelle, ils ont eux aussi essuyé le feu des critiques au moment de leur sortie.Que pensaient les journalistes contemporains de la publication des livres que nous considérons aujourd'hui comme des chefs-d'oeuvre? Chroniques!propose une anthologie de critiques dithyrambiques ou assassines qui éclairent sous un nouveau jour notre perception de cinquante oeuvres incontournables (de Baudelaire, George Sand, Zola, Huysmans...).Richement illustré, Chroniques! est une invitation au voyage, une plongée revigorante dans notre passé qui nous montre que même les plus grands classiques n'ont pas toujours fait l'unanimité lors de leur publication.Textes de Michèle Pedinielli et Pierre Ancery
«Il restera les livres, disait Jorge Semprun. Les récits littéraires, du moins, qui dépasseront le simple témoignage, qui donneront à imaginer, même s'ils ne donnent pas à voir... Il y aura peut-être une littérature des camps... je dis bien:une littérature, pas seulement du reportage...»Les textes réunis dans ce volume ont été écrits entre 1946 et 1994 par des survivants des camps nazis. Ces survivants partagent un même dessein:témoigner de l'expérience qui a été la leur, la rendre mémorable dans une langue - le français - qu'ils ont reçue en héritage ou dont ils ont fait le choix. Moins en rapportant des épisodes extrêmes, des moments limites, qu'en rendant compte de l'ordinaire du temps concentrationnaire, sur quoi la mort règne et dans lequel s'effacent les formes et figures de l'humain.Tous constatent que les mots manquent pour exprimer une telle insulte à l'espèce humaine. «On ne se comprenait pas» (Antelme). «Il n'y a rien à expliquer» (Cayrol). L'écriture touche là aux limites de son pouvoir. Dans une entreprise de cet ordre, impossible de satisfaire aux exigences de transparence et de véridicité généralement associées au langage quand il se fait témoignage. Pour que l'indéchiffrable monde des camps échappe, si peu, si partiellement que ce soit, à l'incommunicable, pour que quelque chose existe qui relève de la transmission, chacun de ces écrivains doit explorer l'envers du langage et approfondir la «réalité rêvée de l'écriture» (Semprun). C'est à «la vérité de la littérature» (Perec) qu'il revient de préserver la vérité de la vie.Littérature. Le mot peut paraître sans commune mesure avec l'objet de tels récits. Il ne choquait pas leurs auteurs. C'est que la part littéraire ne relève pas chez eux d'un savoir-faire ou d'une rhétorique, moins encore d'un désir d'esthétisation. Mais d'un souci éthique de la forme, d'une morale du style. Antelme:«il faut beaucoup d'artifice pour faire passer une parcelle de vérité.» Semprun:« Raconter bien, ça veut dire :de façon à être entendus. On n'y parviendra pas sans un peu d'artifice. Suffisamment d'artifice pour que ça devienne de l'art!» Permettre d'imaginer l'inimaginable, rendre le lecteur sensible à une vérité aussi inconcevable exige une profonde réélaboration de la réalité.C'est en cela que les livres ici réunis sont des chefs-d'oeuvre de la littérature du second XX? siècle. Et c'est pour cela que les qualifier de chefs-d'oeuvre de la littérature ne les disqualifie pas, ne les rend pas inférieurs à la fonction que leur ont assignée leurs auteurs:témoigner d'«une catastrophe qui a ébranlé les fondements mêmes de notre conscience» (Cayrol).C'est bien à la littérature - ici non pas truchement de l'illusion, mais instrument de la vérité - que ces survivants, ces
Rousseau fouillant dans la bibliothèque de sa mère, Emma Bovary soupirant à la lecture de Paul et Virginie, la Petite Tailleuse chinoise et ses compagnons sauvés de l'enfer par Balzac, Nathalie Sarraute dévorant Rocambole, Montag, le pompier prêt à tout pour sauver les livres... Que de héros dont la vie a été bouleversée par la lecture de quelques pages!Écrivains ou héros de romans, tous peuvent témoigner de ces moments de bonheur où plus rien n'existe, hormis les histoires enfouies entre les pages d'un livre.
Le grand voyage des écrivains à l'abbaye de Lagrasse.
« Les écrivains ont aimé Lagrasse. Là-bas, ils ont trouvé des amis, des conseillers, des guides, des hommes simples surtout. Personne n'était là pour convaincre l'autre. Mais le pari n'était pas gagné d'avance », écrit Nicolas Diat dans sa préface.
Que s'est-il passé dans cette abbaye des Corbières, entre Carcassonne et Narbonne ? À l'ombre de bâtiments immenses dont la fondation remonte au VIIIe siècle, quarante-deux jeunes chanoines mènent une vie de prière placée sous l'égide de la Règle de saint Augustin. Pendant trois jours et trois nuits, quinze écrivains se sont succédé pour partager leur quotidien. Office, étude, travail manuel, promenade, repas, ils ont eu le privilège d'être sans cesse avec eux.
Voici les beaux récits de ces expériences inoubliables, pleines de péripéties et de surprises...
Un siècle après sa mort, Proust n'a jamais été autant lu, traduit, commenté. Pourquoi lui? Pourquoi cet auteur qui semble si français est-il mondialement connu et reconnu? Pour le comprendre, nous avons choisi de décentrer notre regard, en réunissant quatre-vingt trois textes d'auteurs étrangers qui ont lu Proust, en français ou en traduction. Qui l'ont admiré ou envié, qui s'en sont inspiré ou qui ne l'ont pas compris, tout autour du globe. Pourquoi eux? Parce que leurs conditions de lecture ne sont pas les mêmes que celles d'un Français. Il leur faut adapter l'auteur à leur propre contexte de référence, à un environnement géographique et linguistique totalement différent. Tout en se laissant eux-mêmes déraciner et projeter vers un monde éloigné du leur. Du Japon au Brésil, de la Chine à la Catalogne, on lit Proust partout, dans toutes les langues. Les analyses et témoignages ici réunis créent de nouveaux regards sur l'oeuvre proustienne:de nouvelles interprétations, de nouvelles interrogations, de nouveaux bonheurs de lecture.Avec vingt textes traduits pour la première fois en français.
17 écrivains (Jean-Christophe Rufin, Antoine Compagnon, Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Pascal Bruckner, Frédéric Beigbeder...) racontent, avec leur talent propre, leur immersion d'une semaine au sein des Troupes de marine.
« La patrouille remonte le sentier. Mais une embuscade lui a été préparée. Des coups partent. Un blessé tombe. Les fusils crépitent. Des cartouches à blanc pleuvent autour de moi. » Jean-Christophe Rufin.
« L'antimilitarisme est le pacifisme des imbéciles. C'est une évidence qui devrait crever leurs yeux. » Franz-Olivier Giesbert.
« En partant, j'ai la gorge serrée. J'ai du mal à quitter ce cocon rassurant fait d'organisation et d'émulation, d'illusion lyrique et d'autorité, de relations fraternelles et authentiques. Je suis en retard sur le programme, les adieux se font à la hâte. J'aurais voulu mieux les remercier de m'avoir inculqué l'équivalent d'une bibliothèque entière de livres d'épanouissement personnel. » Laurence Debray.
« Pendant ces jours où les écrivains ont eu la joie de rencontrer les valeureux soldats des Troupes de marine, ils ont peut-être croisé le regard d'un homme ou d'une femme qui donnera un jour sa vie pour la France. Personne ne peut savoir si Adélaïde de Clermont-Tonnerre à Quiberon, en entraînement avec les hommes du RICM de Poitiers, Antoine Compagnon à Mourmelon ou Laurence Debray au camp d'Auvours sont de ceux-là... », écrit Nicolas Diat dans sa préface.
Après Trois jours et trois nuits, à l'abbaye de Lagrasse, les écrivains sont partis dans les régiments les plus prestigieux des Troupes de marine, composante historique de l'armée de Terre depuis quatre siècles. Ils ont accepté de partager le quotidien de ceux qui défendent partout notre liberté.
Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Antoine Compagnon de l'Académie française, Laurence Debray, Étienne de Montety, Pascal Bruckner, Jean-René van der Plaetsen, Franz-Olivier Giesbert, Jean-Christophe Rufin de l'Académie française, Marine de Tilly, Frédéric Beigbeder, Katell Faria, Thibault de Montaigu, Patrice Franceschi, Louis-Henri de La Rochefoucauld, Jean-Luc Coatalem, Laetitia de Witt, Arnaud de La Grange.
«Invention» des anciens Grecs au V? siècle av. J.-C., l'Histoire est une discipline à la recherche d'un passé qu'elle tente de reconstituer grâce à des témoignages et aux travaux des historiens successifs. Voici d'abord les portraits de quelques grands personnages, vus par des écrivains non moins considérables:Robespierre par Lamartine, Louis XIV par Voltaire, ou Clovis par Ruskin, entre autres. Vient ensuite l'Histoire dans toute sa diversité:les angles les plus inattendus sont souvent les plus riches en enseignement. Ce sont toutes les histoires (celle du tabac, de la sexualité, du poil, du rock'n'roll...) qui forment l'Histoire. Et pour finir, quelques questions concernant l'écriture de l'Histoire, et de sa transmission. Exploration en compagnie de Jules César, Victor Hugo, Jules Michelet, Pierre Grimal, Charles de Gaulle, Georges Duby, André Malraux, Francis Fukuyama, et bien d'autres...
Des lettres touchantes et parfois très drôles, une multitude de voix littéraires, des grands noms de la littérature française, qui nous parlent d'adolescence, de transmission, de ce que c'est que grandir en n'oubliant pas celui ou celle que l'on a été. Le recueil réunit les lettres d'auteur.e.s ayant participé à des ateliers d'écriture avec des adolescent.e.s, et, en écho, une vingtaine des meilleures lettres d'adolescent.e.s qui ont écrit à l'adulte qu'ils vont devenir, ainsi que des lettres de personnalités invitées qui se sont également prêté à l'exercice. Une réflexion qui se dessine en creux sur nos identités en construction !
La marraine (Sarah Chiche) et le parrain (Patrick Chamoiseau) du projet sont auteurs au Seuil.
Les sept auteurs qui animent les ateliers sont Alex Cousseau, Amélie Sarn, Joelle Ecormier, Jean-Jacques Fdida, Denis Baronnet, Bertrand Puard et Gary Ghislain Les personnalités participant au projet sont les autrices Julia Kerninon, Clémentine Beauvais, Valentine Goby, Maria Pourchet, Anne-Fleur Multon, la chanteuse Pomme et le bédéiste Berthet One
Petit musée des traditions et de l'humour populaires français depuis 137 ans... Voici l'Almanach Vermot 2023.
Avec plus de 500 dessins humoristiques reflétant notre époque dans tout ce qu'elle a de bon... et de moins bon, il vous accompagne jour après jour. Des blagues, des proverbes et des expressions, des jeux, des dictées, des recettes, l'horoscope, et plein de rubriques de culture générale. Histoire d'en apprendre tous les jours !
Il y a cent ans, le premier tome de À la recherche du temps perdu était publié et allait révolutionner le paysage littéraire mondial.
Rares sont les lecteurs qui osent encore s'abandonner à la prose si particulière de La Recherche et aux messages que délivre son auteur, Marcel Proust...
L'été avec Proust est l'occasion d'explorer les sept tomes de ce roman, à travers ses grandes lignes fondatrices et bien sûr ses plus belles pages, en compagnie d'un spécialiste, d'un écrivain ou philosophe.
Antoine Compagnon aborde ainsi la conception très singulière du temps proustien, alors que Jean-Yves Tadié présente quelques personnages-clés du roman.
Jérôme Prieur et Nicolas Grimaldi traitent respectivement des mondanités et des tourments amoureux.
Julia Kristeva évoque les pouvoirs de l'imagination, Michel Erman dévoile les lieux les plus emblématiques de La Recherche, alors que Raphaël Enthoven nous montre que Proust n'est pas seulement romancier, mais aussi philosophe.
Enfin, le livre s'achève avec Adrien Goetz sur le sujet de la création artistique et littéraire, ambition suprême du narrateur et de Proust lui-même.
Un été avec Proust est, à l'origine, une série d'émissions diffusées pendant l'été 2012 sur France Inter.
Ces mots traversent les frontières est l'une des anthologies du Printemps des Poètes 2022. Elle met en lumière la poésie contemporaine ! Ici, la curiosité et la diversité l'emportent sur le dogme.
- Cette anthologie du Printemps des Poètes réunit autour du thème des frontières les textes inédits d'une centaine de poétesses et poètes contemporains francophones. Ainsi, elle est le témoin du foisonnement de la création poétique de l'année 2022.
- Ces mots traversent les frontières célèbre la poésie contemporaine et la diversité des voix qui la composent. Ici, aucun courant poétique ni aucune doctrine littéraire ne font la loi. Au fil des pages, vous découvrirez des textes singuliers qui interrogent chacun à leur manière la notion de frontière.
- Le livre est dédié aux poètes disparus en 2022 : Jeanine Baude, Michel Deguy, Henri Deluy, Michelle Grangaud, René de Obaldia, Jean-Luc Parant.
Anthologie de la poésie française De Villon à Verlaine Composer une nouvelle anthologie de la poésie française serait bien téméraire, si cette initiative n'avait ici pour justification pratique et pour fin d'offrir au plus grand nombre un modeste et durable viatique : pour les plus jeunes, à l'âge des premières découvertes littéraires, un bref et stimulant aperçu du somptueux domaine qui les attend ; pour les autres, un discret rappel des syllabes immortelles qui les ont enchantés.
De ses origines médiévales (Rutebeuf, Villon) jusqu'à la fin du xixe siècle (Rimbaud, Laforgue), dans le cadre d'un art poétique codifié avant que ne commence l'aventure moderne d'une écriture libérée de toute contrainte, la poésie française est ici représentée par « ces vers qui chantent dans la tête alors que la mémoire est absente » (Verlaine).
Présentation et notes par Annie Collognat-Barès.
L'eût-on vue, on l'eût à peine reconnue. Tellement elle était changée. Les yeux seuls restaient, non brillants, mais armés d'une très étrange et peu rassurante lueur. Elle-même avait peur de faire peur. Elle ne les baissait pas. Elle regardait de côté; dans l'obliquité du rayon, elle en éludait l'effet. Brunie tout à coup, on eût dit qu'elle avait passé par la flamme. Mais ceux qui observaient mieux sentaient que cette flamme plutôt était en elle, qu'elle portait un impur et brûlant foyer.Jules Michelet, La SorcièreQuatorze portraits de sorcières intrépides, fascinantes et multiples, adulées ou rejetées, par autant de plumes, classiques et contemporaines, de Michelet à Sand, de Shakespeare à Maryse Condé.
Plongez dans l'univers raffiné du Japon pour une escapade poétique relaxante.
Chaque nume´ro de Sphe`res explore une communaute´ de passionne´s pour en raconter les grandes histoires. Car de´couvrir la passion d'une personne, c'est de´voiler ce qu'elle a de plus intime et de plus essentiel.
Et de´couvrir une passion partage´e par des milliers d'autres, c'est comprendre une facette de notre socie´te´.
«Un héritage du passé dont nous profitons aujourd'hui et que nous transmettons aux générations à venir»:telle est la définition du patrimoine proposée par l'Unesco. Reflet de la façon dont une société se représente son propre passé et son avenir, à travers ce qu'elle estime vouloir conserver, restaurer et transmettre, le patrimoine matériel et culturel rappelle à chacun ses prestigieux aînés bâtisseurs de cathédrales, de palais somptueux ou de villages de rêve... Des toits de Paris aux pyramides d'Égypte, du musée du Louvre aux Bouddhas du Bamiyang, de la Voie royale d'Angkor au Pavillon d'Or de Tokyo, de Carcassonne à Guérande, de Jérusalem à New York... voyage parmi les merveilles du patrimoine, en compagnie de guides prestigieux, comme Gustave Flaubert, Victor Hugo, Alexandra David-Néel, Marcel Proust, Paul Auster, Dominique Fernandez, Pierre Loti, Franz Kafka, Le Corbusier, Joseph Kessel, André Malraux, et bien d'autres...
Éditorial:Maud Simonnot, «Parce que nous ne pensons pas que les revues appartiennent, comme on l'entend parfois, à une époque révolue...»La Nature:Erri De Luca, NatureRichard Powers - Nathacha Appanah, ConversationAnton Beraber, Flore de la Grande Ceinture OuestKatrina Kalda, Forêts et frontièresChristophe Bataille, FaonThomas Lévy-Lasne - Aurélien Bellanger, Peindre la natureFabienne Raphoz, La Nature, voilà mon paysHamedine Kane, Le paradis perdu des PeulsÉrik Orsenna, Le rendez-vous de l'OcéanCatherine Siméone - Catherine Larrère, L'éthique environnementaleJacques Réda, Du vent dans les arbresProust 1922-2022:Yannick Haenel, Le sable magiqueMaud Simonnot, 1922Jean-Yves Tadié, Préface au Journal de Reynaldo HahnViolaine Huisman, La petite robe noireAntoine Compagnon, Marcel Proust, la fabrique de l'oeuvreJulien Syrac, La joie du réel retrouvéBlanche Cerquiglini, Proust au défi des écrivains étrangersAnne Simon, Zoopoétique de ProustDans la bibliothèque de J. M. G. Le Clézio:Maud Simonnot - J. M. G. Le Clézio, Entretien et livres citésCritiques libres:Charles Daubas, «Musicanimale», Philharmonie de Paris (Gallimard)Arthur Larrue, Journal de nage de Chantal Thomas (Seuil)Claire Berest, Les confins d'Eliott de Gastines (Flammarion)Philippe Bordas, Tout Rabelais, sous la direction de Romain Menini (Bouquins)Camille Laurens, La cécité des rivières de Paule Constant (Gallimard)Jakuta Alikavazovic, Le Trésorier-payeur de Yannick Haenel (Gallimard)Laurence Cossé, La vie sans histoire de James Castle de Luc Vezin (Arléa)