Né il y a trois siècles au Japon, le haiku est la forme poétique la plus courte du monde. Art de l'ellipse et de la suggestion, poème de l'instant révélé, il cherche à éveiller en nous une conscience de la vie comme miracle. De Bashô jusqu'aux poètes contemporains, en passant par Buson, Issa, Shiki et bien d'autres, Haiku est la première anthologie à présenter un panorama complet de ce genre littéraire, en lequel on a pu voir le plus parfait accomplissement de l'esthétique japonaise.
« Pourquoi aimons-nous le haiku ? » interrogent les préfaciers de ce livre. « Sans doute pour l'acquiescement qu'il suscite en nous, entre émerveillement et mystère. Le temps d'un souffle (un haiku, selon la règle, ne doit pas être plus long qu'une respiration), le poème coïncide tout à coup avec notre exacte intimité, provoquant le plus subtil des séismes. Sans doute, aussi, parce qu'il nous déroute, parce qu'il nous sort de notre pli, déchirant une taie sur notre regard, rappelant que la création a lieu à chaque instant. Peut-être, enfin, parce qu'il sait pincer le coeur avec légèreté. Rien de pesant, rien de solennel, rien de convenu. Juste un tressaillement complice. Une savante simplicité. »
Né il y a près de quatre siècles au Japon, sous le nom de haikai, le haiku est la forme poétique la plus courte du monde. Art de l'ellipse et de la suggestion, poème de l'instant révélé, il cherche à éveiller en nous une conscience de la vie comme miracle.Un recueil de plus de trois cents poèmes pour découvrir, au fil des saisons, la plume des quatre grands maîtres du haiku japonais, Bashô, Buson, Issa, Shiki, ainsi que de nombreux autres, tels Ryôkan, Hôsai ou Santôka.
La légende rapporte qu'au retour d'une rencontre avec Lao zi, Confucius le décrivit à ses disciples comme aussi insaisissable qu'un dragon, «chevauchant les vents et les nuées». On pourrait en dire autant du dao, «la voie»:l'impossibilité à l'appréhender est le gage de sa toute-puissance. Si Confucius employait déjà ce terme, c'est avec Lao zi, Zhuang zi et Lie zi (autrement dit:Lao tseu, Tchouang tseu et Lie tseu) que le dao prend une signification beaucoup plus large pour devenir à la fois un principe et un moteur. Avec eux naît «l'école du dao». La primauté doctrinale de leurs trois textes ne s'est jamais démentie jusqu'à nos jours. Tandis que le Lao zi peut presque être considéré comme un traité prescriptif, le Zhuang zi propose une oeuvre riche en couleurs et en figures fantasques, et le Lie zi un ensemble de récits où le merveilleux côtoie le quotidien. L'influence de ces trois oeuvres est immense, y compris en Occident.Cette nouvelle édition, qui propose des traductions nouvelles ou récentes, se compose de la première version connue à ce jour du Lao zi - elle était jusqu'à présent inédite en français - et de sa version canonique, de la version classique du Zhuang zi en trente-trois chapitres, et du Lie zi intégral en huit chapitres. Ce volume forme désormais un diptyque avec le Huainan zi (tome II des Philosophes taoïstes dans la Pléiade), établi selon les mêmes principes en 2003.
« Matin de printemps - / mon ombre aussi / déborde de vie ! ».
Bashô, Buson, Issa, Chiyo-ni, Ryôkan, Shiki, Sôseki... Autant de grandes plumes japonaises réunies dans ce recueil de haikus. Un recueil où éclosent, dans la brièveté d'usage de cette forme, quelques superbes épiphanies propres aux deux belles saisons : le printemps et l'été.
Plus de 200 poèmes-tableaux, où se croisent, aux lisières de l'invisible, cerisiers en fleur, nuits d'été et autres pluies printanières.
Ce nouveau volume des "Classiques en images" propose de renouer avec la tradition du poème court japonais à travers une sélection de 60 haïkus exclusivement consacrés au monde culinaire.
Ce recueil célèbre avec poésie et raffinement le rapport entretenu avec la nourriture, la boisson, les sensations que procurent le fait de préparer le repas, de boire le saké, de couper un poisson. Il montre que ces manières de boire et de manger relèvent tout autant du nécessaire que du spirituel.
Parmi les auteurs, nous retrouvons : Bashô, Kazué Asakura, Buson, Yûji, Masajo Suzuki, Kikaku, Teijo Nakamura, Takako Hashimoto, Chora...
Ces haïkus sont illustrés par des estampes d'artistes des XVIIIe et XIXe siècles comme Utagawa Kunisada, Kitagawa Utamaro, Torii Kiyonaga, Utagawa Hiroshige...
Voici, proposée en français, une anthologie de la littérature vietnamienne. Elle offre un panorama cohérent d'une histoire littéraire particulièrement riche et de l'immense variété des genres déployés depuis près d'un millénaire au Viêtnam, au carrefour de plusieurs civilisations, y compris la civilisation française. Y sont rassemblées les plus belles pages des chefs-d'oeuvre classiques et modernes, jusqu'en 1975. Ce recueil, d'une densité exceptionnelle permet au lecteur de remonter aux origines avant de lire les oeuvres des écrivains d'aujourd'hui.
Sans doute achevée vers 913, cette anthologie rassemble mille cent onze poèmes, presque tous des tanka (poèmes de 31 syllabes), représentant un siècle et demi de création poétique. Le Kokin waka shû marqua de manière définitive - et jusqu'à nos jours - la sensibilité et la perception de la nature des Japonais ; son influence sur la littérature postérieure - prose et poésie - est considérable. Il s'agit de sa première traduction intégrale en français.
Deuxième tome du XXe siècle en manga, l'ouvrage se divise en 5 chapitres, de la crise de 1929 à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il est enrichi de plus d'une vingtaine de pages documentaires.
1. Roosevelt et la Grande Dépression.
2. Chang Kaï-chek et Mao Zedong.
3. Hitler et l'Allemagne nazie.
4. Churchill et la Seconde Guerre mondiale.
5. Staline et la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Cinq écrivains japonais de premier plan (Muramatsu Tomomi, Morita Ryûji, Hayashi Mariko, Shiina Makoto, Fujino Chiya) nous livrent leur vision de Tokyo dans des textes inédits. Tokyo : 2000 kilomètres carrés, 12 millions d'habitants ! Mais laissez-vous plutôt guider dans un Tokyo inconnu qui ne coïncide pas nécessairement avec une vision de voyageur pressé ! Parce qu'elle demande une vision centrée sur le détail et le mouvant plutôt que sur le monumental et l'éternel la ville est depuis longtemps l'héroïne des romanciers japonais qui en donnent à lire une image multiple et envoûtante. Des boîtes de nuit, des bars, des dancings à Shinjuku. Une prostituée philippine, un commissariat de police, la peluche Pi-PO. Un peu d'amour, beaucoup de rêves, une femme qui n'arrive pas à prendre le train et une autre qui réapparaît brusquement. Autant d'éclats d'histoires qui, de nuit comme de jour, illuminent la ville de Tokyo et en dessinent la géographie sentimentale.
Le haïku japonais est le plus souvent connu au travers des oeuvres de Bashô, Buson, Issa et Shiki. Pourtant, de nombreuses femmes, maîtresses de haïkus, ont influencé la poésie japonaise depuis plus de trois siècles jusqu'à aujourd'hui.
Cette sélection de 60 haïkus vous fera découvrir des auteures classiques ou contemporaines, des femmes connues pour certaines dans leur pays : Teijo Nakamura, Momoko Kuroda, Nobuko Katsura...
Les thématiques abordées sont : amour, souffrance, quotidien, enfants.
Ces haïkus sont illustrés par différents peintres des XVIIIe, XIXe et XXe siècles : Utamaro Kitagawa, Goyo Hashiguchi, Suzuki Harunobu, Kiyoshi Saito...
Traduit par Dominique Chipot et Makoto Kemmoku.
Avec sa coquille sur le dos, l'escargot rampe sur les feuilles et sur les troncs d'arbre mouillés, et pourtant il ne tombe pratiquement jamais. Comment fait-il pour ne pas glisser ? Et pourquoi ne sort-il que par temps de pluie ?
Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cette nouvelle collection spectaculaire à destination des 5-7 ans !
Plusieurs épisodes sont racontés dans ce tome :
- les origines de la guerre de Troie, - la mort d'Achille, - la ruse d'Ulysse.
Dans ce premier tome on découvre les débuts de l'humanité; le big bang, puis la Préhistoire et l'Antiquité égyptienne.
Des pages chronologiques encadrent l'ouvrage.
Un cahier de 32 pages documentaires richement illustrées vient étoffer les informations distillées dans les épisodes, ainsi que de nombreux compléments regroupés en fin de chapitre.
Dessins typiques du manga, couleurs saturées, scénario avec personnages servent à illustrer les grands épisodes de l'histoire.
La présente anthologie propose d'explorer sous toutes ses facettes le renouveau du haiku dans le Japon d'aujourd'hui. Depuis la fracture d'Hiroshima, le haiku se nourrit du désordre des paysages urbains, exploite des gisements inattendus, ausculte l'accélération de l'histoire tout en gardant vivaces la saisissante simplicité et l'exigence d'expression absolue qui le fondent. Renaissant littéralement de ses cendres après le cataclysme, il trouve un nouveau souffle, cherchant un juste contrepoint au kaléidoscope du siècle. En effet, et ce n'est pas là le moindre de ses paradoxes, la forme poétique la plus courte du monde, née sous l'égide de Bashô il y a quelque trois cents ans, semble résonner au mieux avec la sensibilité contemporaine, laquelle privilégie, on le sait, une esthétique de l'instantané. Les 456 poèmes rassemblés dans cette anthologie témoignent d'un exceptionnel foisonnement. Invitation à tous les voyages, irruption de voix singulières qui tentent une fusion passionnante entre l'extrême modernité et le plus ancien passé. Dispositif d'émerveillement, tremplin de méditation, expérience de vérité, le haiku est plus proche que jamais de la fameuse injonction rimbaldienne : « fixer des vertiges ».
Cette anthologie est une nouvelle édition d'un recueil paru en 1986 sous le même titre et qui inaugurait cette année-là, la création de la maison d'édition.
Les nouvelles de ce recueil furent rédigées pendant l'ère Taishô, soit au début du XXe siècle, lorsque le Japon, après avoir vécu plus de deux siècles et demi replié sur lui-même, s'ouvrait au reste du monde. Soudain la réalité se trouva ébranlée de courants antagonistes, d'ambitions et d'agitation sociale, de nostalgie et de rêves. C'est un moment clé où les écrivains voient s'ouvrir à eux de nouvelles possibilités de création. La confession domine, la vie devient art et se raconte avec franchise, et bientôt, dans cette période pleine d'effervescence, s'inventent les maîtres précurseurs de la littérature japonaise moderne.
Luo a enfin revu soeur mais il na encore ni largent ni la force nécessaires pour la libérer. Pour accroître sa fortune, il va participer à sa première vente aux enchères. Sensuit un entraînement mortel où seuls les plus forts et intelligents pourront survivre.
Une fleur de lotus sortant de l'eau pure, / Naturelle, dépourvue de toute décoration, telle devrait être la poésie selon Li Bai. Il vécut au VIIIe siècle et demeure la figure la plus marquante de l'époque Tang, considérée comme l'âge d'or de la poésie chinoise. Mais il y a trois mille ans que les Chinois sont poètes et que leur poésie est en quête d'harmonie. Qu'elle dit le monde tel qu'il est : Affaires humaines, changeants nuages, / Pourquoi? (Gao Qi, XIVe s.). Rêve à ce qu'il pourrait être : Les fleurs de pêcher sur l'eau s'éloignent ; / Il est un autre monde, pas celui des humains (Li Bai). Aspire à l'union avec la nature : Je crains de vieillir plus vite si les fleurs sont fanées (Du Fu, VIIIe s.). Dénonce ce qui détruit les êtres de l'intérieur : Pleurs jamais taris, / Souillures jamais lavées, / Ardeur jamais consumée, / Honte jamais épurée, / Cette vie incertaine, évanescente, / Où trouvera-telle enfin son havre de paix? (Guo Moruo, 1892-1978.) Se laisse hanter par l'Histoire : Les lianes sauvages, mues par on ne sait quel amour, étreignent les os blanchis par la guerre (Yuan Haowen, XIIIe s.). Fixe pour l'éternité les moments fugitifs des amours heureuses : Défense au soleil de relever les stores de tes yeux, / Défense à la brise de brosser tes sourcils, / Personne ne doit te réveiller, / Ouvrons l'ombre d'un pin pour couvrir ton sommeil (Wen Yiduo, 1899-1946). Et rivalise avec les autres arts, peinture ou calligraphie : Le vent remue l'écume : mille pétales de fleurs ; / Les oies touchent le ciel : une rangée de caractères (Bai Juyi, VIII-IXe s).
Reproduire trois mille ans de poésie en deux fois moins de pages, il ne faut pas y songer. Mais le choix des plus beaux textes, jades entre les cailloux, est en Chine une pratique aussi ancienne que la poésie même ; la première anthologie, le Shijing, aurait été compilée par Confucius au Ve siècle avant notre ère. Dans un temps où la Chine se fait moins remarquer par l'éclat de sa littérature que par ses exploits économiques, la Pléiade propose, en quelque 1850 poèmes dus à plus de 400 auteurs, une traversée de l'océan poétique qu'elle a produit.
Il fallait faire des choix représentatifs : on s'y est efforcé, sans suivre aveuglément les anthologies chinoises. Car il convenait aussi de choisir des textes qui soient parlants pour (et puissent être dits par) le lecteur francophone. La musique des mots, les rythmes, les couleurs, les images doivent résonner dans notre langue pour que quelque chose de l'imaginaire de l'auteur nous soit transmis. Les traducteurs qui ont tenté l'aventure l'ont fait avec leurs goûts, leur talent, leur amour des textes, et l'idée que se fait chacun d'eux de la Chine et de sa littérature. Dans le paysage qu'à eux tous ils ont redessiné, chacun tracera sa propre route.
Suivez les aventures du seul véritable héros de jeux vidéos !
Wario, c'est le plus costaud et ce n'est pas un rigolo !
Pourtant, il vous fera mourir de rire avec ses gags et sa fâcheuse tendance à régler tous les problèmes à la force de ses poings.
Les vampires ont peut-être peur de l'ail mais lui, ça le rend invincible !!!
Ses ennemis n'ont qu'à bien se tenir... Et des fois, ses amis auss
Au milieu d'un monde qu'il pensait finissant, à l'orée d'un siècle qu'il croyait plus que d'autres troublé, un sage proposa des idées neuves qui permirent de redéfinir les relations entre les hommes, de fonder une morale stricte et de conduire les États vers le bien. L'écho de sa pensée fut si large et durable que, quoiqu'on l'eût dit « sans couronne », Confucius (~551-~479) régna, par sa doctrine, sur un monde qui passa en gloire et en durée celles de bien des empires. Ses idées se répandirent au-delà de la Chine, imprégnant les esprits comme les institutions. Confrontées à des obstacles redoutables, elles ne cessèrent pourtant d'avancer, vague après vague, comme une marée montante, et finirent par atteindre les bords de l'Occident. Il y eut aussi des reflux, dus à l'émergence de croyances plus neuves ou plus puissantes, mais le confucianisme sut reprendre ensuite ses prérogatives, dans la société comme dans l'État.
Ce volume envisage un état des lieux de la pensée confucianiste ancienne, telle qu'elle fut conçue puis se cristallisa au seuil de l'Empire, avant de connaître une véritable transmutation en réaction à la montée du bouddhisme et du taoïsme. On s'est donc attaché à regrouper les principaux auteurs qui ont prolongé la pensée de ce Maître (formulée dans le Lunyu, « Les Entretiens ») et se sont disputé l'interprétation de ses dialogues et de ses aphorismes pour constituer un système à deux branches : celle de Meng zi (ou Mencius, ~385-~301) et celle de Xun zi (~310-~235). On propose, de surcroît, trois grands textes presque aussi fondateurs - La Grande Étude, La Pratique équilibrée (autrefois traduit sous le titre L'Invariable Milieu) et Le Classique de la Piété filiale -, pour rendre compte des idées en présence dans la Chine d'avant l'Empire. En tout six ouvrages - certains traduits en français pour la première fois -, qui forment le socle sur lequel s'est bâtie, au long des siècles, l'école de Confucius, marquée, de ses débuts à nos jours, par un humanisme de fond, et n'excluant pas, loin s'en faut, les contradictions et les querelles.
Au moment où la Chine croit pertinent, voire urgent, de redécouvrir l'oeuvre du « vénéré Maître Kong », Kong Fuzi, l'Occident lui-même éprouve à nouveau de l'intérêt pour le père de la philosophie chinoise et pour certains de ses héritiers. L'enracinement de ce mouvement de pensée dans l'histoire et la société chinoises ne fait pas simplement de lui un « produit » intellectuel nécessaire à la compréhension de ce monde-là. Le confucianisme est un système potentiellement universel et, pour partie, intemporel. Et c'est sans doute parce qu'il fut une sagesse avant d'être une philosophie qu'il s'adresse non seulement à chaque Chinois, mais à chaque homme.
Luo Zheng a intégré la secte de Qing Yun où est emprisonnée sa soeur. Il sait désormais comment la libérer, mais pour cela il doit lutter contre les machinations de son cousin qui en veut à sa vie et accepter les missions les plus mortelles de la secte.
Le chat court et bondit avec légèreté. Il grimpe aux arbres et se tient en équilibre au sommet des murs. Mais comment fait-il pour être aussi agile ? Et pourquoi ses yeux brillent-ils dans le noir ?
Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cette nouvelle collection spectaculaire à destination des 5-7 ans !
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Wario, c'est le plus costaud et ce n'est pas un rigolo !
Pourtant, il vous fera mourir de rire avec ses gags et sa fâcheuse tendance à régler tous les problèmes à la force de ses poings.
Les vampires ont peut-être peur de l'ail mais lui, ça le rend invincible !
Ses ennemis n'ont qu'à bien se tenir... Et des fois, ses amis aussi.
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Pourtant, il vous fera mourir de rire avec ses gags et sa fâcheuse tendance à régler tous les problèmes à la force de ses poings.
Les vampires ont peut-être peur de l'ail mais lui, ça le rend invincible !
Ses ennemis n'ont qu'à bien se tenir... Et des fois, ses amis aussi.
Luo Zheng est désormais un esclave alors qu´il était le fils aîné du seigneur d´un riche clan. Sa famille est sur le déclin et sa soeur a été emprisonnée... Un ancien livre laissé par son père pourrait être son dernier recours !