Le carnet capsule temporelle qui crée l'événement !
Tu es prêt à te dévoiler, à affronter tes secrets et écrire toute la vérité ?
On ne prend plus le temps de vivre, on scrolle, on fait défiler des stories, parfois on s'attarde un peu plus sur une publication qui nous intéresse, c'est le monde de l'immédiateté. Instagram, TikTok, Snapchat, Twitter... On ne prend plus le temps, et surtout nous n'avons plus de jardin secret.
Pourtant, penser, réfléchir, laisser ses émotions s'exprimer sont des besoins indispensables pour apprendre à se connaître, à s'aimer et s'accepter.
Avec ce carnet, je t'invite à faire une pause chaque jour pour te confronter aux grandes questions de la vie et t'interroger sur ton passé, ton présent et ton futur. Confie-toi librement et avec sincérité, c'est TON espace, rien qu'à toi.
À la fin de ce carnet, cache-le ou enterre-le si tu souhaites le relire plus tard. Mais si tu veux tout oublier alors déchire-le, détruis-le, brûle-le !
Au fil de ses pages, laisse-toi entraîner par Lythan Cottaz, jeune créateur de contenus qui compte près de 3 millions d'abonnés. Dans son quotidien ultra-connecté, il aime prendre du temps pour lui et se poser face à ses carnets. Il est ton meilleur guide pour ce travail d'introspection.
« Le baiser n'est qu'une préface, pourtant. Mais une préface charmante, plus délicieuse que l'oeuvre elle-même, une préface qu'on relit sans cesse, tandis qu'on ne peut pas toujours... relire le livre. » Le Baiser,1882. Guy de Maupassant Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Titre de Charles Baudelaire, repris en Poésie/Gallimard et en Folio
Titre d'Antoine de Saint-Exupéry, paru en 1945 en hors série Gallimard
Titre d'Émile Zola, repris en Folio classique en 1980
Titre de Guillaume Apollinaire, repris en Bibliothèque de la Pléiade et en Folio 2 Euros
«Je prends possession du monde par les mots.»
«Écrire c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit.» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
« J'aime les mots, leur sens ancien, les passerelles que ça crée. L'impression d'un ordre, d'une cohérence, d'un enracinement, le seul qui tienne dans ce monde de folie. Où les mots ne veulent plus rien dire. Où la vérité ne compte plus. » Croire au merveilleux, 2017. Christophe Ono-dit-Biot Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Titre de Jules Michelet, paru en quatre tomes de 1959 à 1976 dans la collection blanche
Titre de Marguerite Yourcenar, paru en 1968 dans la collection blanche
«J'aimais hier et j'aime encore Je ne me dérobe à rien Mon passé m'est fidèle Le temps court dans mes veines.» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Titre de Jane Austen, repris en Folio classique en 2009
Les 26 lettres de l' alphabet sont ici mises en avant de façon éducative et ludique sur un grand poster : lettres en majuscules, en cursive et sous chacune le nom d' un animal commençant par la lettre, toujours en écriture cursive. En bas du poster, une zone ardoise permet à l' enfant de s' entraîner à écrire chaque lettre au feutre effaçable et un petit mémo lui rappelle le nombre de lettres dans l' alphabet ainsi que les voyelles.
Chaque carnet s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
«Tous les matins du monde sont sans retour.» Pascal Quignard, 1991
«J'ai commencé ma vie comme je la finirai sans doute : au milieu des livres.» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Titre de Pierre Mac Orlan, paru en 1951 dans la collection blanche
«Il faut être léger comme l'oiseau et non comme la plume.» Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Semainier classique de janvier à décembre.11,8 x 18,5 cm - 192 pages, couverture «Blanche» avec un signet en satin, intérieur impression 2 couleurs.Une citation extraite de correspondances entre écrivains chaque semaine, les grandes fêtes, les anniversaires d'écrivains, des anecdotes littéraires, les salons et festivals du livre, un cahier de pages blanches «croquis & notes», un cahier vierge ligné «citations & notes», «lectures», «envies».Une préface d'Amaury Nauroy:Les correspondances.Une bibliographie de correspondances d'écrivains.Couverture rigide recouverte d'un papier texturé Wibalin® Buckram fabriqué par Winter & Company reconnu pour résister à un usage quotidien, reliure dos carré collé cousue au 9l blanc, papier intérieur Schleipen Fly 90 g/m2.
Titre de William Blake, repris en 2013 dans la collection Poésie/Gallimard.
« Sans contraintes il n'est pas de progrès.
Attraction et Répulsion, Raison et Énergie, Amour et Haine, sont nécessaires à l'existence de l'homme. » William Blake, 1793
Titre de Daniel Pennac, paru en 1992 dans la collection blanche.
« L'homme construit des maisons parce qu'il est vivant, mais il écrit des livres parce qu'il se sait mortel. » Daniel Pennac, 1992
« Le jour immense ! » Cette heure qui est entre le printemps et l'été, 1913. Paul Claudel Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'oeuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur.
Titre de Roger Nimier, paru en 1965 dans la collection blanche
Chaque carnet s'ouvre par une citation dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection Blanche.
« Il est possible que vous soyez en train de rencontrer votre... destin.. » André Malraux, 1937.