Les animaux souffrent. Comme nous. Ils ont donc des droits. Ce livre est la « bible » du mouvement de libération animale. Il a déclenché en 1975 - année de sa parution aux États- Unis - le débat contemporain en éthique animale. Traduit dans une vingtaine de langues, il s'est vendu à plus d'un demi-million d'exemplaires.
« Singer ne se situe pas dans le registre de la rhétorique ou de l'émotionnel. Son argumentation ne s'appuie pas sur des opinions personnelles, des principes religieux ou des abstractions philosophiques, mais sur des positions morales sur lesquelles nous sommes en général tous d'accord. »
« Je crois que, fondamentalement, on a envie de sentir que sa vie est revenue à plus que simplement consommer et produire des déchets. ».
Et si chacun d'entre nous pouvait agir sur la société, avoir un impact sur le monde ?
Avec Théorie du tube de dentifrice, Peter Singer retrace la vie et les méthodes d'Henry Spira. À lui seul, cet activiste américain a réussi à faire plier McDonald's, le directeur du FBI ou encore L'Oréal. Son moyen d'action : des cibles soigneusement sélectionnées, de l'empathie envers ses ennemis, des propositions alternatives. Et, quand le dialogue ne suffit pas, la confrontation.
À la fois biographie édifiante et manifeste, ce livre est un concentré d'inspiration pure.
Peter Singer est le théoricien et le promoteur de l'altruisme efficace.
Le principe ? Si nous voulons agir de façon solidaire, autant le faire de la manière la plus efficace possible.
L'altruisme efficace désigne à la fois une philosophie et un mouvement social qui prend de plus en plus d'ampleur dans le monde. Il s'oppose à l'idée d'un altruisme fondé sur le sacrifice, d'inspiration judéo-chrétienne, qui épuise et rend les gens malheureux.
«À une époque où les gens que nous admirons sont mannequins, sportifs, millionnaires ou stars de cinéma, nous avons besoin de modèles différents. Henry Spira en est un.» Voici comment Peter Singer introduit le livre retraçant l'incroyable histoire d'Henry Spira.
Seul et sans organisation, cet homme a tordu le bras de géants comme McDonald's, l'ancien puissant directeur du FBI John Edgar Hoover ou encore de l'Oréal.
Afin de transformer le monde et de donner du sens à sa vie, Spira n'a cessé de développer ses propres méthodes : chercher le dialogue avant la confrontation ; toujours proposer une alternative crédible à ce que l'on dénonce ; éviter l'entre-soi des militants ; ne pas diviser le monde en saints et en pêcheurs...
La libération des femmes, la libération des homosexuels sont aujourd'hui très largement acceptés comme des luttes légitimes. Mais comment penser la situation que nous réservons aux animaux en particulier dans les élevages industriels ? Penser la « libération », c'est toujours élargir notre horizon moral de telles manières que des pratiques qui étaient jusque là considérées comme naturelles deviennent intolérables. Peter Singer étudie comment notre perception et notre traitement des animaux s'est modifiée ces trente dernières années.
Il rend compte de tous les débats en Europe et aux États-Unis sur la question controversée des « droits des animaux ».
Les êtres humains sont des coopérateurs-nés.
Alors pourquoi la gauche a-t-elle accordé si peu d'attention aux théories biologiques du comportement, laissant la droite revendiquer le darwinisme et la " lutte pour la vie " ?
En partie parce que le mécanisme évolutif par lequel la " lutte pour la vie " conduit à des comportements coopératifs a longtemps été pour les darwiniens eux-mêmes une énigme. En partie aussi parce que réduire, à la suite de Marx, l'essence de l'homme à " l'ensemble des rapports sociaux ", en ignorant le fait que l'homme est un produit de l'évolution, permettait de croire à la perfectibilité de la nature humaine.
Dans ce petit livre, Peter Singer retrace l'histoire de ce malentendu intellectuel pour arriver à la conclusion qu'il est temps que la gauche adopte une vision scientifique de la nature humaine. Il montre en même temps comment les progrès récents de la théorie (Axelrod et " donnant-donnant ", notamment) peuvent nourrir la pensée de la gauche et l'aider à se fixer des objectifs réalistes - et réalisables.
Cette nouvelle vision politique semble tomber à point nommé : la gauche a rarement eu autant besoin de se renouveler qu'aujourd'hui.
En ces temps de crise mondialisée où chacun craint pour le lendemain, les responsables politiques de tout bord et de tous pays s'agitent pour « refondre le capitalisme ». Comme toujours, les oubliés de ces discussions sont les plus démunis. Devant cet abandon manifeste des pouvoirs publics, une évidence s'impose à Peter Singer : les citoyens doivent s'emparer du problème à titre individuel.
À la question « Que devons-nous faire ? », au coeur des réflexions éthique et politique, l'utilitarisme apporte une réponse étonnamment simple : ce qu'il est juste de faire, c'est agir en vue des conséquences les meilleures, soit le plus de bonheur ou bien être possible, pour le plus grand nombre. Les premiers penseurs utilitaristes, au nom des idéaux de liberté et d'égalité, luttèrent sans relâche pour la justice, réclamant des droits égaux pour les femmes, dénonçant l'esclavage, et militant en faveur du respect des animaux, contre les souffrances et la cruauté dont ils continuent à être les victimes. Pourtant, l'utilitarisme et ses premiers défenseurs n'ont cessé de faire l'objet d'attaques et de railleries. En nous exhortant à prendre en compte les intérêts de ceux que nous ignorons le plus souvent, l'utilitarisme constitue une puissante doctrine éthique, qui nous invite à interroger les principes mêmes de notre réflexion morale.
Les animaux souffrent comme nous. Comme nous aussi, ils jouissent du bien-être. Mieux que nous parfois, ils s'imposent par la ruse et l'intelligence. Comment continuer à les traiter comme des « choses » dont on se contenterait de condamner l'abus ? Mais faut-il pour autant leur accorder des droits, et si oui lesquels ? Et qui veillera à leur application ?
Pour répondre à ces questions et à tant d'autres, Boris Cyrulnik l'éthologue, Élisabeth de Fontenay la philosophe, Peter Singer le bioéthicien croisent leurs regards et confrontent leurs savoirs sur la question animale.
La voie est tracée pour que le législateur s'attelle à la rédaction du contrat qu'il nous faut maintenant passer sans délai avec nos frères en animalité, au nom de la dignité humaine.
Boris Cyrulnik est éthologue et neuropsychiatre.
Élisabeth de Fontenay est philosophe.
Peter Singer, fondateur du Mouvement de libération animale, enseigne la bioéthique.
Karine Lou Matignon est journaliste et écrivain.
David Rosane est ornithologue.
A mi-chemin entre l'enquête sociologique et la philosophie éthique ce livre pose un regard critique sur la nourriture que nous consommons et ses méthodes de production et se propose de donner à chacun les moyens de faire le meilleur choix alimentaire.
En partant de la liste de courses de trois familles témoins, Peter Singer remonte toute la chaîne de production dans sa rencontre avec les éleveurs, agriculteurs, pêcheurs, restaurateurs, experts, militants associatifs et journalistes afin d'en exposer les rouages.
Ils souffrent comme nous. Comme nous aussi, ils jouissent du bien-être. Mieux que nous parfois, ils s'imposent par la ruse et l'intelligence. Comment continuer à les traiter comme des « choses » dont on se contenterait de condamner l'abus ? Mais faut-il pour autant leur accorder des droits, et si oui lesquels ? Et qui veillera à leur application ? Pour répondre à ces questions et à tant d'autres, Boris Cyrulnik l'éthologue, Élisabeth de Fontenay la philosophe, Peter Singer le bioéthicien croisent leurs regards et confrontent leurs savoirs sur la question animale.Trois sensibilités, trois parcours, trois formes d'engagement : la voie est tracée, au-delà des divergences et des contradictions, et en partie grâce à elles, pour que le législateur s'attelle à la rédaction du contrat qu'il nous faut maintenant passer sans délai avec nos frères en animalité, au nom de la dignité humaine.
Cette 4e édition française est l'adaptation de l'édition américaine Biology, de Peter Raven, elle est reconnue comme une référence en la matière. Très didactique, ce livre propose une approche progressive et complète de cette discipline en constante évolution.
Dans cette nouvelle édition, actualisée et encore améliorée, certains thèmes ont été davantage développés comme, par exemple, le chapitre sur les plantes, la génomique et les biotechnologies.
Les qualités didactiques et iconographiques qui ont fait le succès des éditions précédentes ont encore été améliorées.
Une approche fondée sur l'observation et l'expérimentation :
Plus de 2500 photos et illustrations en couleurs Un glossaire de plus de 1000 termes.
Le Biologie de Raven est LA référence incontournable en sciences de la vie et met l'accent sur l'évolution, combinée à une intégration de la biologie cellulaire, moléculaire et de la génomique pour offrir au lecteur un texte à la fois agréable à lire, rigoureux ; avec cette approche toujours fondée sur l'observation et l'expérimentation. Il part des concepts de base de la biologie dans le but de les relier entre eux pour que les étudiants puissent non seulement apprendre plus facilement mais également développer leur esprit critique.
Le lecteur retrouvera diverses rubriques à vocation pédagogique :
Questions de synthèses / Démarche scientifique / Résumés / Questions de compréhension et d'application et de nombreux QCM de révision / Relier les concepts.