Adrien Loir est peu connu du public, pourtant il a joué un rôle fondamental, d'abord auprès de Pasteur, dont il fut l'assistant personnel, puis comme acteur de la création du réseau des Instituts Pasteur.
Ainsi, quand Louis Pasteur répond à l'appel du gouvernement australien pour éradiquer les lapins qui prolifèrent sur son sol, il ne se rend pas à Sydney en personne : il envoie Adrien, qui va créer sur place un Institut, après bien des tribulations. Là, il croise Sarah Bernhardt, s'occupe des bovins à défaut des lapins, photographie les Aborigènes, etc.
Sa vie se confond avec l'expansion mondiale de la vaccination.
Raconter l'histoire d'Adrien Loir, c'est éclairer des aspects souvent méconnus de l'action de Pasteur et de son influence dans le monde.
Ce livre est le récit d'un chemin scientifique initiatique, un chemin de conscience que l'on peut tous s'approprier, et qui nous montre les transformations inévitables que nos expériences de vie nous amènent à effectuer.
Au coeur de la matière résident l'énergie et la force de vie qui lui donnent ses structures et ses propriétés. En nous reliant par la conscience à ces dimensions invisibles, nous sommes capables d'agir sur nous-mêmes et d'activer en particulier une puissance d'autoguérison qui soigne à la fois l'âme et le corps. En établissant un parallèle audacieux mais pertinent entre la façon dont la matière inerte tire ses propriétés uniques de ses défauts de structuration, et les blessures et fêlures d'un être humain, l'auteure nous entraîne sur son propre parcours de guérison.
Du minéral au vivant, du microscopique au cosmos, Jeanne Ayache tire de sa riche expérience de chercheuse en physique et biologie un regard unique sur le monde qui nous entoure et notre place en son sein. Aujourd'hui thérapeute énergéticienne, elle travaille sur la dimension symbolique et sacrée de l'humain en inscrivant ses pas dans ceux d'illustres pionnières, comme Annick de Souzenelle ou Jacqueline Bousquet.
La santé est plus que la simple restauration d'un corps malade, obtenue à coup de médicaments et d'appareils sophistiqués.
Elle requiert un style de vie sain et comporte une dimension spirituelle, un juste rapport à soi, aux autres, à la Création, à Dieu, dans l'unité du corps et de l'âme. Prêter à son corps, en tant qu'il est l'expression de l'âme, toute l'attention qui lui est due, est une exigence spirituelle.
Nous pouvons essayer de nous rendre maîtres de la mort en la défiant. En nous laçant à grande vitesse sur les autoroutes, en rentrant indemnes de la guerre, nous pouvons nous sentir immunisés contre la mort. Est-ce là l'expression de nos voeux les plus infantiles, la projection de nos rêves de toutes puissance et d'immortalité ? Si toute une société souffre d'une telle crainte et nie aussi évidemment la mort, les moyens de défense auxquels elle recourt seront forcéement destructeurs. Les guerres, les émeutes, le nombre croissant de meurtres et d'autres crimes pourraient bine n'être que les indices de notre incapacité à assumer la mort dignement. Ne faut-il pas repartir à zéro, tenter de concevoir notre propre mort et apprendre à affronter cet événement, tragique mais inévitable, avec une peur moins irrationnelle ?
La psychiatre et psychologue Elisabeth Kübler-Ross (1926-2004), fut pionnière de l'approche des « soins palliatifs » pour les personnes en fin de vie et de l'accompagnement aux mourants. Elle a accompagné des milliers de personnes en fin de vie et a étudié les différents stades par lesquels passe une personne lorsqu'elle apprend qu'elle va mourir.
Quatre situations réelles de demande d'euthanasie. Quatre réflexions philosophiques, éthiques et pratiques.
« S'il te plaît, abrège mes souffrances. Je n'en peux plus. Je suis un poids pour tout le monde. Fais-moi mourir. » Comment accueillir une telle demande, surtout lorsqu'elle émane d'un parent âgé, d'un conjoint, d'un jeune, d'un ami ou d'un patient ? Comment l'interpréter ? Quelle attitude adopter ? Que dire ? Que faire ? Évitant les réponses toutes faites, Olivier Bonnewijn étudie quatre cas concrets de demande d'euthanasie et propose plusieurs pistes pour réfléchir et agir en conscience.
Un petit ouvrage d'éthique appliquée débordant d'humanité.
Se pourrait-il que notre matière si familière et si banale nous cache quelque chose ? Qu'elle ne soit que la face visible d'une substance plus riche et plus subtile ?
Cet essai s'interroge sur cette matière que nous croyons connaître mais qui, depuis l'avènement de la physique des quantas, se révèle aussi énigmatique que déconcertante.
L'auteur propose, en des termes simples et imagés, une vision autre du monde physique. Cette vision originale renouvelle notre conception de l'homme et de l'univers. Elle permet même d'envisager, sur des bases inédites, la perspective d'une authentique conscience artificielle.
Bien des réalités différentes se cachent derrière le terme d'"écologie". L'écologie dite "environnementaliste" naît du souci de transmettre aux générations futures une terre qui soit habitable et elle s'efforce de gérer la croissance économique en vue d'une répartition équitable des richesses. Elle s'inspire d'une démarche humaniste. Mais d'autres courants défendent des positions idéologiques qui ne tiennent pas compte de l'homme.
Ce que l'on peut nommer "l'idéologie verte" va même jusqu'à considérer celui-ci comme un danger pour l'équilibre de la planète Terre, baptisée "Gaia", et à préconiser une réduction drastique de la population humaine au nom du "droit" des autres espèces vivantes, animales ou végétales. Un discernement est donc indispensable : faut-il vraiment tout accepter ?
Dans l'immensité des commentaires sur l'oeuvre de Darwin et de ses successeurs, le travail d'Olivier Nguyen vient apporter une note de fraîcheur. Et pourtant, ce domaine est délicat à aborder paisiblement alors que la théorie du gender, s'emparant du champ politique, prétend remettre en cause les fondements même de notre humanité.
Loin de donner raison aux créationnistes américains, Olivier Nguyen pose la vraie question qui taraude toute la théorie de l'évolution : la stabilité des espèces. Et c'est là que l'on doit rendre hommage à son travail transversal, tout à fait dans la requête d'un Edgar Morin. Tous les domaines viennent apporter leur éclairage : linguistique, paléontologie, biologie, philosophie, théologie, et même la perspective mystique. On retrouve ainsi avec bonheur la grande tradition médiévale de l'ordre des disciplines, chacune éclairant les autres !
Le coeur du raisonnement de l'auteur se situe au niveau biologique, et la quantité d'informations que l'on trouve au fil des pages est impressionnante, tant au niveau de la macro-évolution qu'à celui de la micro-évolution, avec pour la première les découvertes récentes des « taxons Lazare », dont le coelacanthe est un représentant, et pour la seconde les derniers résultats de la génétique qui amènent à s'interroger sur les gènes qui président à la constitution de la main, cette main dont Grégoire de Nysse disait qu'elle a permis le sourire de l'homme et la parole.
Le mystère de la vie est connexe à celui de la Création ou de l'origine du monde au sujet de laquelle la théorie du Big Bang pose autant de questions qu'elle en résout. Enfin, la « paléopoésie » qui enveloppe l'avènement de l'espèce humaine apparaît aussi comme un symptôme de cette volonté d'imposer un matérialisme stérilisant et même angoissant ; songeons à Monod et ses phrases glacées sur l'apparition de l'homme, philosophie nihiliste dont on ne peut se débarrasser que par un délire nietzschéen...
Un ouvrage qui ne manquera pas de susciter des controverses.
Le Dictionnaire Ricci des plantes de Chine présente quelque 16500 noms de plantes chinoises (ou présentant un intérêt suffisant pour avoir un nom chinois) et 3500 noms de matières médicales.
Chaque entrée principale donne le binôme latin du chinois et ses traductions française et anglaise (lorsqu'elles existent), ainsi qu'une brève description (en français) de la plante, de sa situation géographique et de ses principales utilisations. L'ouvrage est complété par plusieurs index classant l'ensemble des entrées par le latin, le français, l'anglais, ainsi que par familles botaniques. Ces 20 000 entrées constituent le premier des nouveaux ensembles lexicographiques qui viendront enrichir dans les années à venir le Grand dictionnaire Ricci de la langue chinoise.
Depuis sa parution en 2001, le Grand Ricci constitue le plus grand ensemble de données entre le chinois et une langue occidentale ; il a vocation à contribuer durablement à l'interaction culturelle entre le monde francophone et la Chine, et pour cela, d'être en permanence actualisé et enrichi en suivant l'évolution de la langue chinoise. C'est donc l'ambition d'un dictionnaire perpétuel.
« Je veux connaître la pensée de Dieu ; le reste n'est que détails », dit un jour Albert Einstein à ses étudiants. Cet aveu marquait la fin d'un temps où les astronomes, se refusant à aborder le cosmos comme un Tout, avaient laissé les interrogations métaphysiques aux mains des seuls théologiens. En effet, tout au long du XXe siècle, à la suite des travaux d'Einstein et de ses collègues, les physiciens et astrophysiciens ont bien été obligés de se poser la question de l'existence de Dieu, et celle de l'origine - déterminée ou aléatoire - de notre univers. Leurs réponses furent aussi diverses qu'affranchies de tout dogmatisme, et leurs controverses parfois rudes, parfois assorties d'une pointe d'humour, mêlèrent arguments rationnels et convictions personnelles.Telle est l'histoire captivante que nous raconte Jacques Arnould. Historien des sciences et théologien, chargé de mission pour les questions éthiques au Centre national d'études spatiales (CNES), l'auteur de Dieu versus Darwin nous fait entrer de plain-pied dans le monde fascinant des grands chercheurs de notre temps qui ont osé parler de Dieu.
Songhaï ? Personne n'y croyait. Le bio ? Pas en Afrique. L'innovation technologique ? Il était trop tôt, ou trop tard. Lutter contre la pauvreté ? Tout le monde avait essayé.
Tout le monde sauf un, le père Nzamujo.
En trente ans, ce dominicain héroïque a vaincu toute les difficultés, fait taire toutes les réticences, contredit tous les préjugés. Son centre d'agriculture et d'innovations biologiques s'est tout simplement imposé comme le modèle de développement par excellence en Afrique. Il revient ici non seulement sur l'aventure Songhaï, mais livre un véritable plaidoyer pour « une Afrique qui relève la tête et prend son destin en main ».
Nous assistons aujourd'hui à une accélération sans précédent de la recherche sur les propriétés thérapeutiques de la lumière. Ce livre offre un tour d'horizon des plus récentes découvertes dans le domaine, et démontre les bienfaits de la lumière et de la couleur pour la santé, le bien-être et l'éveil.
Documentation solide.
Révélation d'aspects inédits. Recherche avant-gardiste.
Style clair et précis, accessible à tous.
Nombreux points pratiques applicables à la vie quotidienne de chacun.
Conférence à Paris sur le salon Zen en septembre 2016.
« Je suis devenu aveugle en six ans. C'est une expérience inimaginable, c'est pourquoi ce livre se devait de l'évoquer. La cécité exclut non seulement de l'espace et de la lumière - ce qu'il y a de plus immédiat et de familier pour chaque homme - mais aussi de la société, par carence et altération de la communication et de la concertation. Cela crée des malentendus profonds de part et d'autre : conscients chez l'aveugle qui le ressent, inconscients chez le voyant ; réciproquement, on ne se voit pas : par extinction pour l'aveugle ; par oubli, marginalisation ou rejet pour le voyant. Comment en prendre conscience réciproquement et d'une manière bénéfique ? Comment surmonter cette rupture, construire un pont sur cet abîme ? Comment éviter les conséquences en chaîne de ce malentendu ? Ce livre, aux frontières de la psychanalyse, tente de répondre à ces questions : Qu'est-ce que l'altruisme, nouveau nom de l'amour authentique et qu'est ce que la lumière ? » Un blog : http://blog.renelaurentin.com/
Nombre de nos contemporains ont du mal à accepter la description du monde telle que nous la présentent aujourd'hui les scientifiques, en particulier les biologistes héritiers de Charles Darwin.
Les créationnistes - ces fondamentalistes qui prétendent que notre monde a été créé en six jours - veulent imposer la Bible comme autorité décisive en matière scientifique. D'autres, sans être aussi extrémistes, refusent toute théorie qui donnerait au hasard un quelconque rôle au sein du vivant et sont à l'affût de la moindre information scientifique qui renforcerait leur vision déterministe de l'histoire et du monde.
Derrière ces joutes et ces controverses, se dessine un défi majeur pour le croyant : dépasser ses peurs, essayer de comprendre les enjeux de la vision évolutionniste du monde et du vivant, pour élaborer un discours sur la création qui puisse véritablement rendre compte de l'espérance chrétienne. Autrement dit, " rendre à César ce qui est à César, afin d'inviter César, à son tour, à rendre à Dieu ce qui revient à Dieu " (Dalmace Leroy).
Ce livre veut avant tout offrir au lecteur l'occasion de réfléchir sur ses propres questions (et sur ses propres réponses) concernant l'origine, le sens et la fin de la réalité qui est la sienne et celle du monde qui l'entoure.
L'opposition entre la vie et la mort est pour nous si " naturelle ", et pour les biologistes si évidente, qu'il aura fallu des siècles pour la remettre en question. L'idée que la mort de nos cellules puisse être programmée par l'organisme lui-même, et non résulter d'agressions externes, ne s'est imposée que très récemment... Mais elle a tout changé dans nos conceptions de l'apparition de la vie, du développement, des maladies et du vieillissement. Comprendre qu'un embryon est autant dû à une prolifération qu'à une destruction massive de cellules, ou qu'un cancer puisse être causé par l'arrêt des processus de suicide cellulaire, c'est voir le vivant sous un jour nouveau. Tel est le but de ce livre rare où le biologiste et l'écrivain, devenus indiscernables, ouvrent à la réflexion philosophique des espaces insoupçonnés.
Lorsque tout traitement curatif a été interrompu et qu`il n´y a plus pour l´être qu´ils chérissent aucun espoir de guérison, les proches d´un malade se retrouvent dans une situation extrêmement difficile et pour laquelle ils sont rarement préparés: celle de redéfinir leur façon d´être là pour cette personne, de l´accompagner, comme ils l´ont toujours fait, à travers la vie.
À l´intention de tous ceux - conjoints, parents, amis et bénévoles - qui sont appelés à exercer cette fonction, deux spécialistes communiquent ici le fruit de leur expérience.