La petite fille qui ne savait pas haïr : Une enfance à Auschwitz (Préface : Pape François)

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Traduit de l'ITALIEN par JOSEPH ANTOINE

À propos

Catholiques d'origine biélorusse, Lidia Maksymowicz et sa famille sont déportées au camp d'Auschwitz-Birkenau en décembre 1943. La petite fille n'a alors que 3 ans et est séparée de sa mère dès son arrivée sur le quai quand le terrible Dr Mengele repère ses beaux yeux bleus dont il veut se servir pour ses expériences. La mère de Lidia, risquant à chaque fois sa vie pour lui rendre visite, est son seul lien avec l'humanité. Enfant traumatisée, Lidia survit toutefois à ces treize mois d'enfer. Malheureusement, à la libération du camp, sa mère disparaît dans les épouvantables marches de la mort. La petite fille est confiée à une famille polonaise et commence une nouvelle vie à l'ombre du camp abandonné, qui devient parfois un terrain de jeux... En grandissant, elle ne pense qu'à revoir sa mère. Celle-ci la cherche aussi dans les ruines d'une Europe déchirée par le rideau de fer. Elles se retrouveront sur un quai de gare à Moscou, en 1963. Aujourd'hui, Lidia a choisi de faire la paix avec son passé, car «haïr, c'est souffrir encore plus.»


Rayons : Littérature > Biographie / Témoignage littéraire > Témoignages


  • Auteur(s)

    Lidia Maksymowicz, Paolo Rodari

  • Traducteur

    JOSEPH ANTOINE

  • Éditeur

    J'ai Lu

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    26/06/2024

  • Collection

    Document

  • EAN

    9782290378205

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    192 Pages

  • Longueur

    11 cm

  • Largeur

    17.8 cm

  • Épaisseur

    1.1 cm

  • Poids

    118 g

  • Support principal

    Poche

Lidia Maksymowicz

  • Pays : Pologne
  • Langue : Polonais

Lidia Maksymowicz n'a que 3 ans lorsque sa mère et elle sont arrachées à leur Biélorussie natale pour être envoyées en camp de concentration, en 1943. La petite fille y subit les expériences que le Dr Mengele mène sur les enfants prisonniers - et qui leur sont très souvent fatales. Saine et sauve à la libération du camp, elle se retrouve séparée de sa mère, présumée morte, pour être confiée à une famille adoptive polonaise. Lidia et sa mère ne se retrouveront que bien plus tard, après des années de recherches. Aujourd'hui, Lidia anime des rencontres et des conférences pour partager son témoignage et lutter, par le souvenir, contre les cruautés humaines.

Paolo Rodari

Paolo Rodari est journaliste au journal italien La Repubblica. Il a écrit de nombreux ouvrages.

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