La reine de coeur - roman

À propos

Même si l'on semble découvrir aujourd'hui seulement les grands romans victoriens que sont La Femme en Blanc, La Pierre de Lune ou Armadale, leur auteur, Wilkie Collins, a toujours été lu et apprécié en France.
Un pays qu'il visita souvent et où il avait eu la chance de trouver un traducteur qui était aussi un ami, Émile Forgues... Si les nouvelles qui composent La Reine de Coeur ne sont pas inédites en français, elles ont toujours été publiées "hors contexte" et de façon disparate. L'écrin de ces récits est, lui, inédit. Car La Reine de Coeur n'est pas seulement un recueil, c'est aussi un hommage de Collins aux Mille et Une Nuits et au bel art de la narration.
Trois frères, trois vieux gentlemen campagnards, offrent à une jeune fille des contes chers à leur imagination, afin qu'elle prolonge son séjour jusqu'au retour de leur neveu et fils. amoureux de cette " reine de coeur "... Le bizarre, le drôle, le ténébreux, le fantastique alternent, soir après soirs, et la jeune fille patientera jusqu'au retour de son soupirant, charmée, tel le sultan, par ces trois insolites Shéhérazades.
Avec " Monkton le fou ", " La Femme du rêve ", " Le Secret de famille ", " Fauntleroy ", et six autres contes, Collins recrée pour le lecteur fasciné l'univers tragi-comique, lourd de secrets, de traditions et de contraintes mystérieuses, de l'Angleterre victorienne.


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  • Auteur(s)

    Wilkie Collins

  • Éditeur

    Terre De Brume

  • Distributeur

    Dod & Cie

  • Date de parution

    17/04/2003

  • EAN

    9782843621918

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    423 Pages

  • Poids

    630 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Wilkie Collins

  • Naissance : 1-1-1824
  • Décès :1-1-1889 (Mort il y a 135 ans à l'âge de 65 ans)
  • Pays : Royaume Uni
  • Langue : Anglais

Né en 1824 et mort en 1889, inventeur du thriller contemporain, William Wilkie Collins influença jusqu'à Borges qui voyait en ses romans la première expression de la fiction moderne. Passé maître dans l'art de tisser des intrigues infernales, il aimait dire et montrer ce qu'il était convenu de taire et de cacher : un principe qu'il utilisa merveilleusement pour dépeindre l'hypocrisie de la haute société victorienne et de ses prétendues bonnes moeurs.

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